Bon, penchons nous plus près des Lobbits… Voici deux trois petites informations que je pense qu’il faut savoir sur eux...1
- On ne pourras jamais soulever tout les poils d’un lobbit. Question de pudeur? quoiqu’il en soit, certain de ses longs fils semble pouvoir échapper au lois de la gravité.( nous ne savons et je pense que nous ne saurons malheureusement jamais comment ils font.)
- Les lobbits ont un grand prédateur; ils sont comme des grands renard, très voraces. Ils peuvent être très perfide aussi. Personne n’a jamais pu les voir. Pour voir un lobbit, c’est difficile, pour les voir eux, c’est totalement impossible.2(et même, dans leurs cas, impossible est un mot trop faible)
- La couleur de la chevelure d’un lobbit n’est pas en fonction de son age. un lobbit noir resteras noirs toute sa vie, et un lobbit blanc n’est pas forcément un vieux lobbit. Beaucoup se trompent sur se sujet.3
- Il existe beaucoup de » varientes », de » sous-espèce », les Lobbits bouclés, les Lobbits d’eau…4
.1 Si d’ailleurs, vous avez d’autres informations sur eux, je serais heureuse de pouvoir les recueillir. ( le système des commentaires est très pratique … )
.2 le dessin montrant ce prédateur invisible est une image d’archive peint par le pied tremblant d’un Lobbit traumatisé d’avoir approché de si près un être si dangereux pour lui.
3.ce n’est pas moi qui ai dessiné les yeux du gris…
.4 le dessin montre aussi un Lobbit lumineux. Le jour, c’est un Lobbit comme les autres, et ce n’est que la nuit qu’on peut les reconnaître.
Une maison de Lobbit
Le Lobbit n’a pas vraiment de maison. Il s’agirait plutôt de QG, de base dont il peut aisément se passer plusieurs jours.
Ces abris sont à l’image de leurs constructeurs poilus : discrets et ingénieux.
Discrets parce que même si on vous indiquait précisément l’endroit où ils se trouvent, je ne suis pas sûre que vous le découvriez (à part en marchant dessus, et encore !)
Ingénieux à cause des 1001 minuscules mécanismes et des petites installations qui font de ces logis des merveilles de confort et de technologie.
Dans chaque abris de Lobbit, il y a, au fond à droite, après un petit couloirs aux reflets féeriques, il y a un labbot. Mais, dison le tout de suite, tous les Lobbits ne sont pas des chimistes érudits et des scientifique surdoué, c’est pour cela que, pour la plupart des Lobbits, leurs labbot leurs sert surtout de cuisine.
Dans chaque abri de Lobbit, il y a une petite pièce pudiquement nommée « Placard » qui est consacrée à tout le bric-à-brac accumulé par le Lobbit. C’est un ramassis d’objets hétéroclites et insolites et autres fouillis. Ce n’est pas que le Lobbit soit collectionneur ! Non non ! Mais rappelez vous, c’est un grand farçeur. Il entrepose donc dans ce petit réduit tout le matériel nécessaire à ses blagues.
Les jours où il est de bonne humeur, le Lobbit essaie tant bien que mal de ranger un peu. Un tout petit peu. Juste assez pour pouvoir tirer quelque chose de ce bric à brac pour faire une bonne blague à son meilleur ami, son ami qu’il aime tant et à qui il aime tant faire des millions de bonnes blagues. Comme une marque de profonde amitié.
Mais les jours de mauvaise humeur, c’est aussi vers le fameux placard que le Lobbit se tourne. Qu’il ait la larme à l’oeil, le cerveau brumeux ou la rage au coeur, la vue de tout ce désordre lui redonne le sourire (et plein de nouvelles idées de blagounettes).
Quand il part en vadrouille (nous l’avons dit, parfois pour plusieurs jours), le Lobbit ne prend ni victuailles, ni trousse de toilette, assuré de trouver où qu’il aille dans la forêt un petit ruisseau pour se laver le poil et de quoi assurer sa pitance. Cependant, avant de partir, il ne manquera pas de prendre avec lui quelques menus objets soigneusement sélectionnés parmi le fouillis du placard (trompette à couac, bobine de fil invisible, parapluie farceur, araignée empaillée, moustache, lunettes grossissantes, etc.)
Si vous tendez bien l’oreille, peut-être aurez vous la chance d’entendre un Lobbit au départ. Il est quand même plus discret que le Lobbit enrhumé mais il ne peut cependant pas s’empêcher de laisser échapper un petit gloussement à l’idée de ce qu’il prépare…